top of page
Rechercher
  • Théâtre à 1'000mètres Les Breuleux

Léon TOLSTOÏ – Guerre et Paix

première partie

le troisième chapitre enfin disponible

À Saint-Pétersbourg, le prince Basile fait habilement épouser sa fille, la sensuelle et superficielle Hélène, à Pierre Bezoukhov, pourtant réticent mais faible. Fier de ce succès, il désire faire de même avec son fils Anatole, jouisseur impénitent, et Marie Bolkonskaïa. Ils se rendent à Lissy-Gory, propriété des Bolkonsky. D’abord subjuguée, Marie surprend le bel Anatole dans les bras de sa dame de compagnie, Mlle Bourienne, et refuse le mariage.


Sur le front l’offensive contre Napoléon est décidée et on adopte le plan compliqué du général Weirother, en dépit de nombreuses oppositions. Le 2 décembre 1805, commence la bataille d’Austerlitz, qui mène à l’écrasement des armées russe et autrichienne. Le prince André est grièvement blessé dans une charge. Couché sur le champ de bataille et face à la beauté du ciel, il prend conscience qu’il existe quelque chose de puissant, de vaste et d’insondable. Un peu plus tard, il aperçoit Napoléon et ses troupes, mais il est incapable de dire quoi que ce soit au chef de guerre, puis, laissé pour perdu, il est confié aux soins de la population.


Extrait : « Je suis appelée à un autre bonheur, se disait la princesse Marie, je serai heureuse en me dévouant et en faisant le bonheur d’autrui, et, quoi qu’il m’en coûte, je n’abandonnerai pas la pauvre Amélie. Elle l’aime si passionnément et s’en repent si amèrement. Je ferai tout pour faciliter son mariage avec lui. S’il manque de fortune, je lui en donnerai à elle, et je prierai mon père et André d’y consentir !… Je me réjouirais tant de la voir sa femme, elle si triste, si seule, si abandonnée !… Comme elle doit l’aimer pour s’être oubliée ainsi ! Qui sait ? J’aurais peut­-être agi de même ! »


Guerre et paix est un roman de l’écrivain russe Léon Tolstoï. Publié en feuilleton entre 1865 et 1869 dans Le Messager russe, ce livre narre l’histoire de la Russie à l’époque de Napoléon Ier, notamment la campagne de Russie en 1812. Léon Tolstoï y développe une théorie fataliste de l’histoire où le libre arbitre n’a qu’une importance mineure et où tous les événements n’obéissent qu’à un déterminisme historique inéluctable.


Donneurs de voix :

Esperiidae & Vincent de l’Épine | Durée : 4h 46min

2 vues0 commentaire

Posts récents

Voir tout

Alain Yvars prends la voix de Vincent Van Gogh

ou "Que les blés sont beaux" Les récits d’Alain Yvars (VAN GOGH A AUVERS) m’ont amenés à découvrir autrement un peintre que je connaissais peu, et mal. Cela se résumant à sa folie, ses crises psychoti

nuage de tags 

bottom of page