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Jacques Probst, né en 1951, est un auteur dramatique, metteur en scène et comédien suisse. Sa plume est musclée, encrée à même la chair et le sang, et Aldjia, la femme divisée, texte rude et puissant, est un des huit monologues qu’il a écrit. L’histoire est tirée de l’Ancien Testament, du récit d’une femme violée dans la ville de Guibaa par une bande de vauriens, ne laissant derrière eux que son cadavre, puis découpé par son mari en douze morceaux. La Bible la laisse sans nom, sans une parole. « Je la nommerais Aldjia, mon monologue serait sa parole… » C’est ainsi que Jacques Probst introduit ce texte, l’un de ses plus forts et plus émouvants.

 

Avertissement : ce texte est dur et pourrait choquer certaines sensibilités.

Avec l’aimable autorisation des éditions Bernard Campiche Éditeur.

 

Un grand merci à mon ami Luca Cerullo, saxophoniste, pour l’accompagnement musical.

 

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