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Après une première partie de Singulier Pluriel de Gil Pidoux, voici sept nouveaux portraits clandestins d’hommes vus à travers le prisme de sa sensibilité et de sa bienveillance : la torture du Jaloux, la virtuosité de L’Alpiniste, l’optimisme du Fabuleux, le mystère des Silencieux, la maîtrise du Vielleux (à Marcel Karlen), la suffisance de Taqua-taqua et pour terminer un Miró plus peintre que nature.

 

Pour jeter ces regards sur la cour intérieure de nos pairs, Gil Pidoux a travaillé comme un cinéaste tournerait, sans prévenir, caméra sur l’épaule, à la sauvette. Je le remercie infiniment d’avoir consenti avec amabilité et générosité à la publication de quelques uns de ces courts métrages, brefs et épurés, publiés dans son recueil Singulier pluriel, avec l’aimable autorisation des Ã‰ditions Publi Libris.

 

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